Cartographier la vie, c’est intégrer tous les êtres sensibles dans le processus de créations. C’est ressentir au plus profond de soi le chemin qui mène à l’unité.
Cartographier la vie, c’est aussi reconnaître l’intégrité de l’autre, qu’il soit animal, minéral, végétal ou même invisible, dans l’acte créatif. C’est honorer la richesse et la singularité de chaque présence, en tissant un dialogue sincère avec le monde qui nous entoure.
Dans le vaste théâtre de l’existence, chaque être porte en lui une carte invisible, tracée par ses rêves, ses douleurs, ses espoirs et ses souvenirs. Cette cartographie intérieure, souvent mystérieuse et complexe, devient le fil d’or qui relie les esprits, unissant l’individu à l’univers dans une danse silencieuse et infinie.
Tisser un même horizon pour l’homme et la femme, c’est comme dessiner à deux mains un paysage où le soleil et la lune se rencontrent dans un équilibre subtil. C’est aussi comme peindre le temple Ryumon Ji et Paris sur la même carte postale. C’est reconnaître que, malgré nos différences apparentes, nos trajectoires se croisent dans un espace spirituelle, celui où la vulnérabilité devient force, où la solitude se transforme en communion.
Ce processus de cartographie n’est pas une fin en soi, mais une quête perpétuelle, une exploration intérieure et extérieure, où chaque étape révèle la richesse de l’autre, la profondeur de soi, et le bonheur d’un moment partagé.






